du comte de Batz Castelmore

du comte de Batz Castelmore Braque allemand à poil court

Braque allemand à poil court

Le Gibier Naturel avec un grand « N »

Le Gibier Naturel avec un grand « N »

Bien que la notion de gibier naturel soit sujette à controverse du fait du remembrement, de la modernisation de l’agriculture, et de la destruction de l’habitat naturel, certaines régions restent privilégiées et nous permettent de profiter d’une bonne densité d’oiseaux.

Les concours sur GN, épreuve de sélection par excellence de part la diversité exceptionnelle du biotope, sont là pour nous faire vivre et revivre notre passion du Field.

Face à l’Angleterre, le FT d’Audinghen, Terre des 2 Caps, au cœur de la Côte d’Opale entre le Cap Gri Nez et le Cap Blanc Nez. C’est un paysage de dunes, de falaises, et une terre verdoyante de pelouse calcaire.

Balayés par un vent salé, les territoires de chasse, sont composés de grands champs de betterave (qui montées en feuille sous l’effet de la pluviométrie du printemps et les fortes chaleurs enregistrées début septembre forme une végétation dense et haute), chaumes, et friches où les chiens peuvent laisser libre court à l’expression de leur amplitude de quête, ainsi que de parcelles dites « plus chassantes », où l’on retrouve bosquets, plantations et autres pâtures. Cette diversité fait le bonheur des compagnies de perdrix grises, et autres faisans.

Situé en Région Centre, les FT de fin novembre début décembre sont tout aussi sélectifs. On y retrouve un biotope fait de bois et une population majeure de faisans qui ont un malin plaisir à se regrouper dans les parcelles boisées au grand dame des chiens.

A la différence des concours de Printemps ou de Gibier Tiré, les concours de GN gardent une dimension plus humaine et très conviviale. Bien que l’on y croise quelques dresseurs professionnels, les amateurs viennent jouer « dans la cour des grands » en présentant leur chien dressé ou non par la profession. Cela nous permet d’apprécier certaines races dites « confidentielle » que nous avons moins l’habitude de voir lors des grandes manifestations.

L’ambiance y est tout aussi différente, elle donne lieu à des échanges simples et conviviaux entre amateurs, professionnels et juges, bien que l’esprit de compétition soit toujours aussi présent. Le soir, aux résultats, chaque organisation fait « salle comble » et les juges laissent libre court à leur prose, sortant des sentiers classiques de l’énoncé des résultats.

Bien que la notion de gibier naturel soit sujette à controverse du fait du remembrement, de la modernisation de l’agriculture, et de la destruction de l’habitat naturel, certaines régions restent privilégiées et nous permettent de profiter d’une bonne densité d’oiseaux.

Les concours sur GN, épreuve de sélection par excellence de part la diversité exceptionnelle du biotope, sont là pour nous faire vivre et revivre notre passion du Field.

Face à l’Angleterre, le FT d’Audinghen, Terre des 2 Caps, au cœur de la Côte d’Opale entre le Cap Gri Nez et le Cap Blanc Nez. C’est un paysage de dunes, de falaises, et une terre verdoyante de pelouse calcaire.

Balayés par un vent salé, les territoires de chasse, sont composés de grands champs de betterave (qui montées en feuille sous l’effet de la pluviométrie du printemps et les fortes chaleurs enregistrées début septembre forme une végétation dense et haute), chaumes, et friches où les chiens peuvent laisser libre court à l’expression de leur amplitude de quête, ainsi que de parcelles dites « plus chassantes », où l’on retrouve bosquets, plantations et autres pâtures. Cette diversité fait le bonheur des compagnies de perdrix grises, et autres faisans.

Situé en Région Centre, les FT de fin novembre début décembre sont tout aussi sélectifs. On y retrouve un biotope fait de bois et une population majeure de faisans qui ont un malin plaisir à se regrouper dans les parcelles boisées au grand dame des chiens.

A la différence des concours de Printemps ou de Gibier Tiré, les concours de GN gardent une dimension plus humaine et très conviviale. Bien que l’on y croise quelques dresseurs professionnels, les amateurs viennent jouer « dans la cour des grands » en présentant leur chien dressé ou non par la profession. Cela nous permet d’apprécier certaines races dites « confidentielle » que nous avons moins l’habitude de voir lors des grandes manifestations.

L’ambiance y est tout aussi différente, elle donne lieu à des échanges simples et conviviaux entre amateurs, professionnels et juges, bien que l’esprit de compétition soit toujours aussi présent. Le soir, aux résultats, chaque organisation fait « salle comble » et les juges laissent libre court à leur prose, sortant des sentiers classiques de l’énoncé des résultats.



Dominique Larrieu